Crimes et criminels dans la science Motives les plus bas - pour les plus basses raisons Histoire de science fausse - histoire faussée de la science Escroquerie et escroc dans la science (prévus - apparaît prochainement)
Intérêt vital à la ignorance (à peu scientifique, à sans le savoir) des hommes
Formes antérieures de la punition
Aujourd'hui l'inobservation et l'irrévérence du meilleur savoir règne Coteries et monopoles dans la science et dans l'état Les hommes ne se change pas au fond!
Progrès social Lois (des interdictions, des engagements et des directives)
Autre progrès social est indispensable ___
Il y a des crimes différents, dépendant de cela quelle façon les dégâts que les criminels causent sont. C'est-à-dire, on peut causer des dégâts aux personnes ou à l'humanité sur la façon différente et la manière. Je veux raconter par écrit maintenant ici seulement les crimes qui sont commis parce que le savoir le meilleur et le plus nouveau cachera à des personnes. Par cela on commet des crimes à la science et à l'humanité puisque le savoir doit servir à l'humanité. Avant que je traite cet aspect des crimes à la science et ainsi à l'humanité de façon plus détaillée et l'observe brièvement historiquement, je nomme institutiones etquelques personnes qui se sont en tout cas faites maintenant, dans notre temps, de façon coupable de cette façon de crimes ou se rendent coupables. Il est ceux-là des institutions et des personnes contre la propagation du savoir sont, qui ne correspond pas à ses intérêts vitaux personnels des mobiles les plus bas. Ces institutions et ces personnes sont à cause de cela avec compter trop le criminel le plus grave à l'humanité et le classer de façon plus grave que c'était jamais l'église. Conformément à leur ignorance elles se comportent bêtement en ce qu'elles sont soucieux seulement de leurs avantages propres et "prochains", ce qui signifie aussi qu'elles freinent le progrès social et l'empêchent d'abord.
Il est p. ex. des instituts commandants suivant et leur conducteur, qui se rendent aujourd'hui coupables de la bêtise et l'étroitesse des crimes en et à la science (bien sûr il y a tels instituts et telles personnes aussi en France):
COMMUNAUTÉ DE RECHERCHE ALLEMANDE
Vice-président Prof. Dr.-Ing. Frank Allgöwer, Université Stuttgart
UNIVERSITÉ Stanford, CA, USA
Président John L. Hennessy and Mr. John Etchemendy
INSTITUT POUR DES ÉTUDES AVANCÉES PRINCENTON, N.Y., USA
La direction de l'institut
SOCIÉTÉ ALLEMANDE POUR L'HISTOIRE DE LA MÉDICINE, DES SCIENCES NATURELLE ET DE LA TECHNIQUE
Mme Dr. Susan Splinter et comité directeur
COMMUNAUTÉ DE RECHERCHE ALLEMANDE
Professeur Dr.-Ing. Matthias Kleiner - président de la Communauté de Recherche Allemande
Professeur Dr. Ernst-Ludwig Winnacker - jadis président de la Communauté de Recherche Allemande
MINISTÈRE DE SCIENCE, RECHERCHE ET ART DE BADEN-WÜRTTEMBERG
Professeur Dr. Peter Frankenberg - jadis ministre de science, recherche et art de Baden-Württemberg
Professeur Jürgen van der List - jadis directeur de l'université Esslingen
UNIVERSITÉ TÜBINGEN ET VIENNE
Professeur Dr. Michael Diehl - Université Tübingen
Professeur Dr. Markus F. Peschl - Université Vienne
MAISONS D'ÉDITION SCIENTIFIQUES
Dr. Carsten Könneker, Reinhard Breuer, Hartwig Hanser - rédacteurs de la revue scientifique "Spectre de la science"
Dr. Klaus Rehfeld - rédaction "Panorama des Sciences Physiques Et Naturelles"
Wolfgang Hess - rédacteur en chef à „Image de la science"
INSTITUTES PSYCHOLOGIQUE
Professeur Dr. Joachim Funke - Institut Psychologique, université Heidelberg
Dr. med. Helmut Barz - ancien président de C.G.JUNG-INSTITUT ZÜRICH
RÉPUBLIQUE FÉDÉRAL ALLEMAGNE
Professeur Dr. Roman Herzog - ancien président de la république fédérale Allemagne
MAX-PLANCK-INSTITUT POUR DES SCIENCES SOCIALES
Professor Dr. Carl Friedrich Freiherr v. Weizsäcker - ancien président de MAX-PLANCK-INSTITUT pour des sciences sociales
TELEVISION
Gert Scobel - rédaction de science, 3sat
Ranga Yogeshwar - journaliste de science
HITS - IINSTITUT HEIDELBERGEOIS POUR DES ÉTUDES THEORETICS Directeurs:
Dr. h.c. Dr.-Ing. E.h. Klaus Tschira
Prof. Dr.-Ing. Andreas Reuter
Le comportement de ces institutiones et personnes doit être identifié le comportement qui montrait autrefois l'église p. ex. au Kopernikus et aux temps de Galileis vis-à-vis de connaissances scientifiques plus nouvelles, en fait ignorance du meilleur savoir.
Petit à petit j'appellerai plus de ces personnes, instituts et coteries. Les nommées personnes ont obtenu de la connaissance de mes connaissances des sciences physiques et naturelles et mes découvertes et mes publications! De manière dédaigneuse ils ont refusé ou chaque contact personnel, ou une collaboration avec moi ou un soutien. L'étendue entière de l'origine basse (Ch. Darwin) de la personne se le montre dans cela et l'action en suivant de mobiles plus bas!
Les nommées personnes sont des criminels dans le nommé ici sens. Ils commettent des crimes à la science et à l'humanité en ce qu'ils empêchent que le savoir le plus nouveau revienne aux personnes. En raison de ses positions exposées ils sont obligés de répandre du savoir le meilleur et le plus nouveau. Ils ne font pas cela cependant, mais au contraire ils empêchent la propagation du savoir bon et meilleur consciemment et des mobiles les plus bas. Concerné là de cela en particulier de jeunes personnes sont, donc personnes qui ont leurs vies encore devant eux-mêmes, le crime est, laisser ne pas s'approcher à eux de savoir plus nouveau, particulièrement grave!
En plus ces personnes et ces coteries entravent le progrès de la science. Par cela ils commettent aussi des crimes à la société parce que le progrès social du progrès de la science est dépendant.
Ces coteries et ces personnes vendent du vieux savoir plusieurs milliers de fois. Ils se montrent comme les soutiens de la jeunesse. Vraiment il s'agit pour eux d'abord de ce qu'ils présentent en personne. Ce sont les causes vraies, pourquoi le savoir le plus nouveau vient si tard parmi les personnes et le progrès social reste.
Les nommées personnes ont cependant enfreint de toute évidence un intérêt vital contre les intérêts généraux de la science et contre l'humanité s'il s'agit de la propagation du savoir qui ne vient pas d'eux et ne correspond pas sinon à ses intérêts vitaux! Il est aussi comme ça que ces nommées personnes ne comprennent pas le savoir le plus nouveau et le meilleur et ils tentent à cause de cela d'empêcher qu'apprendre d'autres personnes de ce savoir et le comprendre.
La fierté fausse, le manque d'égards, le mépris de personnes et la position de force de ces personnes (pour la plupart fonctionnaires dans le rang de professeurs) leur interdit lui de donner une chance à d'autres personnes. La loi fondamentale mensongère de la république fédérale Allemagne les aide là en ce qu'il simule de l'égalité des chances et de la dignité de la personne.
Le meilleur savoir est négligé aussi par ceux-là et ignore, qui perçoivent l'exigence "Histoire de science" faire et écrire. L'histoire de science de ces messieurs et des dames est une histoire fausséede la science parce qu'elle cache le niveau effectif du savoir actuel de l'intérêt personnel de ceux qui règnent dans la science et dans l'état !
Dans le suivant j'en nomme quelques-uns de ces dames et des messieurs et de leurs coteries - appelées des instituts qui sont même publics et sont portés par le peuple - qui commettent en tout cas de l'escroquerie à la science et à l'histoire de science. Ce sont ceci par exemple:
l'institut Max Planck pour de l'histoire de science Boltzmannstrasse 22 14195 Berlin
Professeur Jürgen Renn, Executive Director Dr., Honorary Professor for the History of Science at the Humboldt-University Berlin, Honorary Professor for Physics at the Free University Berlin, Adjunct Professor for Philosophy and Physics at the Boston University Residence: since March 1, 1994
Professeur Hans-Jörg Rheinberger, Director Dr., professeur honoraire pour de l'histoire de science à celle-là TU Berlin, Dr. h.c. ETH Zürich
Professeur Lorraine Daston, Director Ph.D., Professor, Committee on Social Thought, University of Chicago Residence: since July 15, 1995
Professeur Sven Dupré, Research Group Director Dr., Professor of History of Knowledge, Institute for Art History, Freie Universität Berlin Residence: July 1, 2011 - September 30, 2016
Ce sont quelques-uns des faussaires de l'histoire de science qui sont ainsi aussi des escrocs et des criminels dans la science. Petit à petit j'appellerai plus de ceux-ci.
Ces personnes peuvent se comporter si dédaigneusement
et de façon misanthropique parce qu'ils sont dans des positions exposées
déterminées dans l'état et agissent à partir de là-bas. Nous connaissons cet agir des positions de force et des
mobiles les plus bas pour le propre avantage et au détriment d'autres
personnes de l'histoire seulement assez.
En fait on peut
appartenir ces nommées personnes et ces coteries à ceux-là elle, avec
lesquels des temps antérieurs comparent, bien elle même ceux-là
identifient. À cela les considérations historiques suivantes.
Il y avait de l'intérêt à sans le savoir des hommes et il y a ceci aujourd'hui.
Autrefois p. ex. L’Église était contre la publication du savoir déterminé. Alors - ni au Kopernikus et aux temps de Galileis - par exemple le savoir n'était pas que non la terre, mais le soleil est dans le point central (de notre système planétaire) dans l'intérêt de L’Église. Derrière cet intérêt étaient les mobiles vitaux et bas. L’Église fondait son pouvoir sur le vieux niveau du savoir. Dans le savoir plus nouveau L’Église voyait un danger pour sa position de force et ainsi pour ses intérêts.
Aussi aujourd'hui il y a des personnes, des institutions et des coteries qui empêchent des mobiles les plus bas que le savoir le plus nouveau parvienne parmi les personnes ! Il pèse dans son intérêt que le savoir reste sur le vieux niveau ! Il est p. ex. des professeurs ou des groupes entiers de professeurs qui ont tel intérêt. En conséquence ils se comportent de façon misanthropique et dédaigneusement. J'ai nommé quelques-uns de ceux-ci dans ce chapitre et avant quelques-uns déjà dans le chapitre PROLOGUE - J'Accuse! .
Rien ne s'est donc changé depuis des temps antérieurs et aussi depuis le temps de Galileio Galilei dans cet égard.
Aussi aujourd'hui encore on punit les personnes qui veulent posséder du savoir le plus nouveau et veulent révéler. Mais dans quelle forme? Comment est-ce que la punition était précédant et comment est-ce que la punition aujourd'hui est ?
Formes antérieures de la punition (Formes vieilles de la punition)
Autrefois on exerçait des peines avec de la violence dans toute sorte de formes à des corps humains (Pierreux, brûler, roues, cachot, détention). Bandés avec ceux-ci, les supplices psychiques des punis, donc les sacrifices, étaient bien sûr !
Exemple Galileio Galilei était menacé à cause de ses affirmations indésirables et devait transférer de 1632 jusqu'à sa mort l'an 1642 dans la détention dans sa maison!
Au lieu de l'interdiction de l'expression d'une opinion, de la détention et des peines corporelles, plus et plus ont marché aujourd'hui sur l'ignorance, l'inobservation et l'irrévérence. C'est l'inobservation de ceux qui ont le savoir meilleur et plus nouveau qui est cependant non dans l'intérêt de ceux qui Règnent juste.
L'ignorance (inobservation) du meilleur savoir et pouvoir est une nouvelle forme de la violence et de la punition avec celle-là les professeurs régnant et d'autres coteries agissent et gouvernent!
L'ignorance est aussi un moyen de lutte psychologique. Souffrir les ignorés sous l'ignorance, parfois même plus que sous le recours à la force corporel. Ici se montre à nouveau une fois, trop ce que celui-là étudiait et peu formé personne est capable et on pense en particulier à nos personnes de messieurs allemandes des trentièmes années (Troisième empire, Hitler et Co.) du siècle passé.
La science n'est en aucun cas libre comme on entend si souvent et pense. Non, au contraire, concernée quelque chose la reconnaissance et les possibilités de la propagation du savoir, elle est battue par au moins un, effectivement plusieurs monopoles. Les monopoles sont exercés par des coteries dont les membres sont des professeurs généralement et au pluriel. Ils sont plus portés par le contribuable dans le service public et ainsi. Ils sont dans les instituts, dans les comités directeurs, ou sont des éditeurs de revues scientifiques. Dans ces emplois ils emmènent de l'influence sur le savoir et déterminent comme ça, qui peut devenir connu ou non. Et c'est bien sûr seulement ce qui correspond à ses intérêts personnels.
Il est des "scientifiques" très médiocres qui sont envieux à cause de cela sur les scientifiques vrais et les découvreurs dont ils profitent et la mènent de leurs connaissances en fait. À cause de cela ils se développent en personnes arrogants dont j'ai nommé quelques-uns dans cette page d'accueil déjà sur d'autres côtés no-tamment. Ceux-ci savourent les préférences d'autorités au temps du moment, simple et seulement à cause de cela, parce qu'ils ont du pouvoir dont ils profitent sans scrupule. Tout qui va non seulement au détriment des découvreurs du meilleur savoir, mais ça va au détriment de la majorité des hommes, donc au détriment de et à la charge de l'humanité. Parce que cela est comme ça, ces personnes - j'en ai nommé quelques-uns au début - et ces coteries commettent des crimes contre l'humanité.
Tout qui est une suite sa, que les hommes ne se change pas fondamentalement!
Question: Mais si les hommes ne s'est pas changée, pourquoi on n'en torture pas alors plus, lapidé, brûlé, tué et puni comme avant?
Comme on ne peut pas changer la personne fondamentalement,il doit s'agir de changer les règles sociales, les lois et les complaisances ce qui s'est bien passé au cours du processus de développement postbiologique de l'humanité aussi déjà. Alors il est en effet comme ça, que, bien que la personne ne se change pas, lui à travers les régulations existant (des lois, des directives, des habitudes, et ainsi de suite) est forcé à se comporter conformément aux conventions et régulations. Ou dit un peu autrement: Bien que la personne ne se soit pas changée fondamentalement, il doit se comporter autrement.
Nous avons obtenu déjà des conventions et de régulations sociales qui sont très louables et montrent le progrès social. Aujourd'hui on ne peut pas mettre une personne sous la détention parce qu'il a découvert quelque chose qui s'oppose aux intérêts vitaux d'autres personnes. Cela serait aujourd'hui encore possible, ainsi je serais interrogé depuis bien longtemps, condamne et puni. À cela il n'y a plus le pouvoir; mais il devient, que représenté, l'ignorance, pratiqué donc l'inobservation et l'irrévérence du meilleur savoir.
On peu dire aujourd'hui à la république fédérale Allemagne "presque tout" en particulier s'il est vrai. On l'ignore pourtant juste alors s'il est vrai (accorde) et ne correspond pas aux intérêts vitaux de ceux-là qui règnent. C'est cependant aussi en même temps le grave.
Aujourd'hui on peut condamner un seulement après une audience au tribunal et la possibilité de la défense a; bien même de l'attaque en forme de la déclaration contradictoire, qu'il n'y avait aux temps de Galileis. Et s'il y avait ceci, alors les coteries régnant sur cela s'imposaient loin et en fin de compte.
Parce qu'autant n'est aujourd'hui plus possible, exercer à d'autres personnes, est aujourd'hui l'ignorance le moyen de ceux qui règnent dans la politique et la science, la peine et la violence d'exercer. C'est de la violence psychique! Il a appuyé de surcroît au mépris de l'égalité des chances et de la dignité de la personne, et ainsi de suite une façon de la discrimination à travers la violence psychique et le viol ! (Parle : "Tu ne nous appartiens pas, car tes connaissances ne sont pas dans notre intérêt ; nous te faisons lui sentir, en ce que nous ne te suivons pas.")
À cause des règles sociales existant aujourd'hui, les ordonnances et les lois, est devenu attaquable le monopoliste qui cache les connaissances les plus nouvelles p. ex. aux personnes. Malheureusement les haies trop hautes existent aujourd'hui encore pour avancer célèbrement contre les monopolistes dans la science. En plus les personnes souffrantes s'assoient dans des positions de force avec une "grosse peau" ( - vois la chancelière de la république fédérale Allemagne Angela Merkel) loin de beaucoup.
De plus les milieux ne contribuent pas aujourd'hui seulement à ce que quelqu'un soit élucidé, mais aussi à cela auprès de, que les erreurs sont répandues et sont déplacées à des personnes dans une lumière, qu'eux approche non. Cela n'attarde pas le développement postbiologique, mais il ralentit elle.
Comme aujourd'hui la possibilité de découvrir des monopolistes et sa coterie existe, ceux-ci tentent pourvu que ça aille, chaque position éviter et empêcher, ce qui conduit alors juste à leur arrogance et leur ignorance. J'ai représenté quelques personnes qui pratiquent ce style de l'ignorance avec de l'arrogance dans notre société dans ce chapitre et dans le chapitre PROLOGUE - J'Accuse ... ! (F)
Il donne donc l'inobservation et l'irrévérence du meilleur savoir, les meilleures capacités, des meilleures vues, et ainsi de suite ce que nous devons vivre aujourd'hui dans des formes multiples juste dans la république fédérale Allemagne.
Qu'il y ait aujourd'hui cette façon de la nommée ignorance et de l'arrogance encore montre et signifie que la société n'a pas assez encore progressé.
Quoi doit donc être fait pour qu'on change cela ?
Si on voulait obtenir un autre progrès social, alors on devrait interdire p. ex. l'inobservation (non-respect) du meilleur savoir par loi. Tant que l'inobservation du meilleur savoir ne soit pas interdite, il n'y a aucune dignité humaine, aucune égalité des chances et la loi fondamentale d'un état sera non plus qu'une collection de dicton comment toujours et encore doit être constaté.
Bandées avec l'interdiction et la punition de l'inobservation du meilleur savoir, on devrait ouvrir alors simultanément aussi les possibilités à la publication et la participation pour des personnes qui n'ont "encore aucun nom" et ne font pas partie aucun monopole et aucune des coteries. Je rappelle p. ex. qu'on ne devienne pas aujourd'hui membre d'une académie en raison d'une performance déterminée mais à travers la recommandation de deux membres - donc à travers des comportements de coterie.
L'instrument régnant des monopolistes est l'inobservation du meilleur savoir et des droits de l'homme aujourd'hui. C'est-à-dire, les monopolistes (des professeurs et d'autres groupes régnant) font comme s'il n'y avait pas de connaissances plus nouvelles déterminées et les personnes dont ces connaissances viennent. C'est une partie de ses crimes aux personnes et contre l'humanité. Par cela ils commettent des crimes dans l'égard multiple: Crime à la science, à la société et à la personne.
1. Ils commettent le premier crime en ce qu'ils font comme s'il n'y avait pas de connaissances plus nouvelles déterminées et les personnes dont ces connaissances viennent. C'est en conséquence de l'ignorance du savoir plus nouveau et meilleur et c'est des maniements indignes avec les personnes qui ont élaboré le savoir.
2. Ils commettent le deuxième crime en ce qu'ils cachent le savoir le plus nouveau à d'autres personnes.
3. Ils commettent le troisième crime en ce qu'ils ne tiennent pas compte du niveau de savoir le plus nouveau consciemment et faussent ainsi l'histoire de science (l'histoire de la science).
4. Ils commettent le quatrième crime au progrès social. En ce qu'ils agissent contrairement au progrès de la science, entravent ou ils ralentissent ainsi aussi le progrès social puisque celui du progrès des sciences est dépendant. Ceci vaut en particulier pour la science qui est traitée ici en effet (en fait) la science de la vie et ainsi aussi de la personne.
Tous les quatre crimes sont des délits graves et des crimes contre l'humanité.
L'ignorance de ceux qui règnent dans la science, la politique et la société se passe des mobiles les plus bas, c'est pourquoi ces personnes et ces groupes de personnes commettent des crimes à l'humanité et contre l'humanité.
Quoi L'église avec son instrument de l'Inquisition au temps de Galileis était, ce sont aujourd'hui les types régnant dans la science et les coteries avec son instrument l'inobservation (non-respect) du meilleur savoir. J'ai nommé quelques-unes des personnes qui se servent de cet instrument dans ce chapitre et dans le chapitre PROLOGUE - J'Accuse ... ! (F).
Telles coteries forment aujourd'hui p. ex. les chefs d'instituts, les éditeurs, les conseils de revues des sciences physiques et naturelles, et ainsi de suite. Ici sont la plupart des professeurs qui ne voudraient jamais avoir fait quelque chose de particulier et voudraient réprimer des performances particulières d'autres personnes à cause de cela tant qu'il leur soit seulement possible.
Bilan: Il reste tout à celui-là à constater qu'il nécessite dans le cas de l'ignorance, donc l'inobservation et irrévérence du meilleur savoir, de l'autre progrès social. Comme la personne ne se change pas, comme de façon montrée, comme ça doivent règles sociales correspondantes, servent à éviter comportement indésirable et forcent le comportement social souhaité.
("... seulement la loi peut nous donner à la liberté." - J.W.Goethe).
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Je remanierai aussi ce chapitre pour vous offrir des descriptions autant que possible meilleures et des représentations. S'il vous plaît rendez visite donc lors d'une visite plus tardive encore une fois à ce côté. Beaucoup de remerciement pour votre intérêt !
Votre Dietmar West
À cela j'ai une demande:
Comme ma langue
maternelle n'est pas française, les défauts sont probablement dans le
texte. Je serais très reconnaissant si vous me rendiez sur cela
attentif. Vous trouvez mon adresse à la fin du chapitre: "CONFERENCES, cours et contact".
Ouvert: 02.02.2012 --> Francais: 08.02.2012 16.02.2013 - DGGMNT 05.03.2014: ScientificAmerican, Universität Stanford und Inst. f. f. Studien Princenton 05.2015: COMMUNAUTÉ DE RECHERCHE ALLEMANDE, Vice-président Prof. Dr.-Ing. Frank Allgöwer, Université Stuttgart 16./19.2015: Conformément à leur ignorance ... freinent le progrès social et ... Il est p. ex. ... qui se rendent
aujourd'hui coupables de la bêtise et l'étroitesse des crimes en et à la
science (bien sûr il y a tels instituts et telles personnes aussi en France):